lundi 27 décembre 2010
mercredi 27 octobre 2010
dimanche 10 octobre 2010
dimanche 26 septembre 2010
lundi 20 septembre 2010
La Muse malade.
lundi 13 septembre 2010
lundi 9 août 2010
dimanche 1 août 2010
vendredi 30 juillet 2010
Hiding behind her teddy bear ..

Janis est la Nina de Loryana , elle est également en pension chez moi quelques temps :B
La miss me réconforte un peu étant donné que l'autre jour , quand je suis allée voir sur la boutique de PS , le prix de la Nina avait flambé ( 150 USD ) .. Du coup notre projet , a Octavie et moi tombe a l'eau , et donc pas de Nina en perspective.. Mais vous verrez , on m'as soufflé une idée bien moins couteuse... A Suivre ; )
La miss me réconforte un peu étant donné que l'autre jour , quand je suis allée voir sur la boutique de PS , le prix de la Nina avait flambé ( 150 USD ) .. Du coup notre projet , a Octavie et moi tombe a l'eau , et donc pas de Nina en perspective.. Mais vous verrez , on m'as soufflé une idée bien moins couteuse... A Suivre ; )
Strawberry tea party !
samedi 24 juillet 2010
Peter Pan is dead .
Azemaria - Little red stroll
mercredi 30 juin 2010
L'Equipage Détraqué : Chapitre II : Asmodée.
Prêts pour de nouvelles histoires à glacer le sang ? Vous savez qu'il vous reste des choses à découvrir à propos de cet Équipage .. Nous savons déjà que Le Maître à crée des pantins pour pouvoir accéder au statut de père .. Ces pantins sont sa seule compagnie.. Mais nous ne savons rien de cet homme.. Pour le moment ..
« Maitre ? »
Une petite fille aux cheveux roses et bouclés en deux couettes s'avançait vers l'homme.
« Plait-il ? » Répondit l'homme.
Il se tourna vers la fille. Son visage éclairé par la lueur de la lune qui traversait la fenêtre devant laquelle il se tenait. Un visage qui était digne d'un dieu, ou d'un démon. Un visage sans défauts, et une peau aussi blanche que la craie. « Puis-je sortir, pour aller chercher des amies ? » le visage de l'enfant pris une expression maléfique, malsaine. L'apollon fit un geste de la main, « Non, Harmony, restes avec ta sœur. Je vais sortir ». La dite Harmony acquiesça et disparu dans la pénombre du manoir. Des rires se firent entendre au loin, profondément dans le manoir. Puis un cri, un seul. Un cri d'horreur. Puis plus rien. Quelques minutes passèrent, et l'homme tendait l'oreille. Les rires reprirent.
L'homme pris sa cape noire et sortit. Les rues étaient sombres, il était seul. « Crasse et pourriture, voilà ce qu'est le monde. » souffla-t-il. Il glissait dans l'ombre de la nuit , tel un chat noir, agile et sûr de lui. Il se dirigeait vers un bordel et commanda un verre de vin rouge, le plus raffiné qu'ils avaient. Des femmes se rapprochèrent de lui , la beauté de cet homme les ayant appâtées comme le vers au bout de l'hameçon d'un pêcheur. « Alors mon coco, on vient s'amuser un peu ? » déclara une des femmes sur un ton aguicheur. L'homme se leva, entrainant une des femmes avec lui. « Vous êtes du genre violent vous, dîtes donc, vous me broyez le poignet ! ». La femme se tût, quand son interlocuteur la regarda profondément dans les yeux. Elle finit par le suivre dans une chambre, qu'il ferma soigneusement à clef...
Il se retourna, son regard noir posé sur la femme qu'il venait de capturer. Sa voix résonna dans la pièce, les yeux de la femme s'affolèrent quand elle entendit ces mots « Amusons nous à tous ces jeux de passions, et de chaires, mais ..Vous ne reverrez plus la lumière, très chère. ». La femme se leva, et tenta de partir, mais la porte étant verrouillée, elle était bloquée. Crier ne servirait à rien, car l'homme avait déjà posé ses lèvres brulantes sur le cou de la femme. Cette jeune femme était envoutée, par la sensualité que dégageait cet homme qui venait de lui annoncer son trépas. Il la souleva alors, et la posa délicatement sur le lit. L'homme retira sa cape, et annonça de façon solennelle « Tu ne souffriras pas, l'enfer n'est pas abominable pour quelqu'un qui ne vit que de débauche. Appelle moi Asmodée, et ceci est ta dernière nuit dans ce monde. »
Un cri, non pas de douleur, mais de plaisir retentit. Puis plus rien...

" Les femmes sont comme des fleurs, je me dois de les cueillir toutes avant qu'elles ne fanent.."
~ Chapitre II : Asmodée. ~
« Maitre ? »
Une petite fille aux cheveux roses et bouclés en deux couettes s'avançait vers l'homme.
« Plait-il ? » Répondit l'homme.
Il se tourna vers la fille. Son visage éclairé par la lueur de la lune qui traversait la fenêtre devant laquelle il se tenait. Un visage qui était digne d'un dieu, ou d'un démon. Un visage sans défauts, et une peau aussi blanche que la craie. « Puis-je sortir, pour aller chercher des amies ? » le visage de l'enfant pris une expression maléfique, malsaine. L'apollon fit un geste de la main, « Non, Harmony, restes avec ta sœur. Je vais sortir ». La dite Harmony acquiesça et disparu dans la pénombre du manoir. Des rires se firent entendre au loin, profondément dans le manoir. Puis un cri, un seul. Un cri d'horreur. Puis plus rien. Quelques minutes passèrent, et l'homme tendait l'oreille. Les rires reprirent.
L'homme pris sa cape noire et sortit. Les rues étaient sombres, il était seul. « Crasse et pourriture, voilà ce qu'est le monde. » souffla-t-il. Il glissait dans l'ombre de la nuit , tel un chat noir, agile et sûr de lui. Il se dirigeait vers un bordel et commanda un verre de vin rouge, le plus raffiné qu'ils avaient. Des femmes se rapprochèrent de lui , la beauté de cet homme les ayant appâtées comme le vers au bout de l'hameçon d'un pêcheur. « Alors mon coco, on vient s'amuser un peu ? » déclara une des femmes sur un ton aguicheur. L'homme se leva, entrainant une des femmes avec lui. « Vous êtes du genre violent vous, dîtes donc, vous me broyez le poignet ! ». La femme se tût, quand son interlocuteur la regarda profondément dans les yeux. Elle finit par le suivre dans une chambre, qu'il ferma soigneusement à clef...
Il se retourna, son regard noir posé sur la femme qu'il venait de capturer. Sa voix résonna dans la pièce, les yeux de la femme s'affolèrent quand elle entendit ces mots « Amusons nous à tous ces jeux de passions, et de chaires, mais ..Vous ne reverrez plus la lumière, très chère. ». La femme se leva, et tenta de partir, mais la porte étant verrouillée, elle était bloquée. Crier ne servirait à rien, car l'homme avait déjà posé ses lèvres brulantes sur le cou de la femme. Cette jeune femme était envoutée, par la sensualité que dégageait cet homme qui venait de lui annoncer son trépas. Il la souleva alors, et la posa délicatement sur le lit. L'homme retira sa cape, et annonça de façon solennelle « Tu ne souffriras pas, l'enfer n'est pas abominable pour quelqu'un qui ne vit que de débauche. Appelle moi Asmodée, et ceci est ta dernière nuit dans ce monde. »
Un cri, non pas de douleur, mais de plaisir retentit. Puis plus rien...

" Les femmes sont comme des fleurs, je me dois de les cueillir toutes avant qu'elles ne fanent.."
vendredi 25 juin 2010
" Venez rejoindre notre Équipage.. Vous ne le regretterez pas " disait-elle.
dimanche 20 juin 2010
Hi there .
Depuis le 11 Juin , je suis en période de révisions , et avant hier j'ai passé ma première épreuve ( Maths ~ XD ). En ensuite ça sera encore Demain , Mercredi et Vendredi , après je serais en vacances pour de bon. Mais pour le moment , je sature et je suis fatiguée de réviser a tout bout de champs. Depuis la dernière séance , je n'ai pas pris de photos ( enfin si , mais j'ai eu un problème de carte SD donc vous ne pourrez pas les voir u__u ) donc je pense avoir perdu de la qualité dans mes photos ( surtout que je trouve que j'ai fait le tour avec mon bridge et que ma qualité photographique n'est plus suffisante , j'aimerais passer au Reflex rapidement [mais ça sera surement pas avant mai prochain XD ] ).
Aujourd'hui , j'ai pris Ren en photo , ça m'as mise de bonne humeur , cette petite est incroyablement mignonne et elle parait si joyeuse dans son expression que ça m'as changé les idées et j'ai envoyé bien loin Baudelaire , Zola et tous les autres ~
J'espère que ce modeste cliché vous plaira quand même ,et ne vous inquiétez pas , mes séances de l'Équipage Détraqué referont surface après mes examens : ) [ J'ai quelques idées en tête déjà ...]
vendredi 4 juin 2010
mercredi 2 juin 2010
The disordered crew.

Voilà , alors comme mon projet de L'Equipage s'est étendu jusqu'a devenir un projet d'histoire co-écrite avec Octavie [Broom-Cupboard] , nous avons créé un blog regroupant toutes les histoires, et les photos de cet univers décalé et étrange qu'est celui de l'Equipage détraqué. Ainsi , je vous laisse en leur compagnie..
dimanche 23 mai 2010
samedi 22 mai 2010
Chapitre I : Pantins .
Je vous informe qu'en ces lieux maudits et habités par la folie, règne une ambiance plutôt étrange ces derniers temps... On entends un bel alto chanter dans une langue morte, et nos deux pantins diaboliques sont plus actives que jamais. Les corps inhabités d'âmes se lèvent et marchent vers la symphonie qui émane de cet homme, au teint de craie. Mais qui est-il ? Il est appelé Maître, il semble être habités par d'étranges forces ...
Chapite I : Pantins .
Manoir lugubre, fermé, vide ...ou presque.
Dans ce manoir vivait un homme . Veuf depuis un certain temps, il ne voulait plus voir personne. Et à ce jour, il était la peur des enfants du village , étant comme la vieille femme isolée , traitée de sorcière dans les films. Il n'avait cependant rien d'une sorcière, il était magnifiquement beau, doté d'un charisme à couper le souffle. Son teint était blanc, comme la craie. Ses yeux ainsi que ses cheveux étaient aussi noirs que l'ébène.
Selon les gens du village, il était fou, il avait complètement perdu l'esprit après la mort de sa femme . Il y avait du vrai a cette théorie, car en effet, il n'avait pas toute sa tête. Mais cependant il restait très intelligent, et il était capable de résoudre toutes sortes de problèmes mathématiques en quelques secondes. On lui donnait plusieurs noms, à force il était comme un mythe, une légende. Le diable, il revenait souvent, on l'alliait souvent à lui. On contait même qu'il était un vampire, mais ce n'était pas le cas. Parmi toutes ces histoires cauchemardesques, une seule paraissait plus réelle que les autres..
Juillet 1745 .
« Nous voilà arrivés Monsieur » annonça le majordome.
De la voiture descendirent deux personnes, grandes , très belles. Un homme , une femme. Il était cependant très dur de les différencier. L'homme possédait un visage si fin et féminin qu'il était presque plus beau que sa compagne.
Ils étaient stationnés devant une grand manoir. La façade était blanche et laissait deviner un intérieur somptueux. C'était leur demeure.
Janvier 1746 .
Une femme qui pleure. Toujours cette même femme, l'homme est à ses côtés, le visage interdit. Un médecin entre dans la pièce.
« Madame, vous avez perdu votre enfant. Et vous resterez dans l'incapacité de donner la vie, je suis désolé » annonça-t-il , l'air grave.
L'homme, furieux, sortit. Une fois à l'extérieur, il cria de toutes ses forces. Des larmes de rage coulaient sur ses joues. Ils ne pourraient pas avoir d'enfants.
16 Mai 1746 .
« Chérie, regarde, je la prépare depuis 2 mois, elle est finie. » déclara l'homme, face à sa femme. Il était heureux, une lueur dans ses yeux brillait telle une étoile.
L'homme se leva, il ouvrit la porte et par cette porte entra une petite fille avec des anglaises violettes. Son visage était doux , sur sa bouche fine était étiré un sourire. La petite s'avança dans la pièce , et se posta devant la femme.
« Ma..man..Maman.. »
La mère fondit en larmes devant la petite fille. Elle remercia le ciel et son mari. Puis elle prit la petite dans ses bras .
17 Mai 1746
« Manges Pizzicato, il faut que tu manges ! » grondait la femme.
La petite a table semblait peu attentionnée par la nourriture et n'écoutait pas sa mère, laissant son assiette intacte. L'homme soupira et se retourna vers la fenêtre, pensif.
Une heure après, la femme emmena l'enfant vers la salle de bain afin de lui donner son bain. Elle se mit alors à lui retirer sa robe, rose et soignée. Une fois la robe retirée , la femme poussa un cri d'horreur. Des articulations étaient seyantes sur le corps de la petite Pizzicato. Cette dernière regarda sa mère, horrifiée et lui demanda « Maman ? Je te fais peur ? Tu ne m'aimes pas ? »
La mère couru hors de la pièce , laissant Pizzicato, seule. En bas, une dispute éclata entre les deux adultes.
Pourquoi tu ne m'as rien dit ? Es tu fou ? Créer un pantin qui pourra remplacer un enfant que l'on aurait jamais pu avoir?
Pizzicato est une petite fille normale, son corps est différent c'est tout, elle n'est pas de chair et d'os , mais elle vit . Elle ne manges peut être pas, mais elle est capable de nous aimer, elle t'aimes ! »
Oui , mais je ne peux pas aimer un pantin, elle n'est pas réelle !
C'est une petite fille, je te l'aie dit.
Tu es fou, je suis navrée.
La femme sortit du manoir. Laissant l'homme, seul. Il allait chercher Pizzicato, la pris dans ses bras.
« Même si elle refuse d'y croire, tu es une enfant, je t'aime Pizzicato, ma fille. » , il la serra contre sa poitrine.
Juin 1746.
« Monsieur, votre femme est décédé aux suites d'une maladie grave, je suis désolé. »
La porte claqua .
Que se passe-t-il Maître ? , demanda Pizzicato
Ma femme est morte , répondit l'homme d'un ton sec.
Oh .. Je vois. Elle est morte..
16 Mai 1747 .
« Pizzicato, tu as un an aujourd'hui » l'homme s'avança vers le siège orné de moulure dorés où la petites fille en anglaises parme était assise tranquillement. Cette dernière répondit d'une voix douce un petit « Oui, Maître » . Le dit Maître se retourna et fit entrer une petite fille habillée de même façon que Pizzicato et coiffée de deux couettes roses à boucles.
Voici Harmony, ta sœur. C'est ton cadeau d'anniversaire. Viens par là Harmony, n'aie pas peur.
Oui Maître , répondit la nouvelle petite.
Les deux enfants se regardèrent pendant quelques minutes avant de partir jouer dans le manoir. Le Maître se mit au piano et commença à chanter le Dies irae , le chant des morts …
Telle était la légende de cet homme. Rendu fou par le désir d'avoir un enfant. Il paraît que pour lutter contre l'âge , il se serait transformé lui même en pantin. Cependant rien n'est sûr. Les rumeurs disent également qu'il aurait vendu son âme au diable, nul ne sait la vraie explication de son immortalité. Et , de temps à autres deux petites filles sont aperçues autour du château , jouant et prenant le thé. De plus , des petites filles disparaissent quelques fois, lorsqu'elles reviennent, elles sont terrorisées, et pleines de marques bleutées.. Nul ne saura réellement ce qui se passe dans ce manoir. La seule chose que l'on sait, c'est que le diable y vit...
Chapite I : Pantins .
Manoir lugubre, fermé, vide ...ou presque.
Dans ce manoir vivait un homme . Veuf depuis un certain temps, il ne voulait plus voir personne. Et à ce jour, il était la peur des enfants du village , étant comme la vieille femme isolée , traitée de sorcière dans les films. Il n'avait cependant rien d'une sorcière, il était magnifiquement beau, doté d'un charisme à couper le souffle. Son teint était blanc, comme la craie. Ses yeux ainsi que ses cheveux étaient aussi noirs que l'ébène.
Selon les gens du village, il était fou, il avait complètement perdu l'esprit après la mort de sa femme . Il y avait du vrai a cette théorie, car en effet, il n'avait pas toute sa tête. Mais cependant il restait très intelligent, et il était capable de résoudre toutes sortes de problèmes mathématiques en quelques secondes. On lui donnait plusieurs noms, à force il était comme un mythe, une légende. Le diable, il revenait souvent, on l'alliait souvent à lui. On contait même qu'il était un vampire, mais ce n'était pas le cas. Parmi toutes ces histoires cauchemardesques, une seule paraissait plus réelle que les autres..
Juillet 1745 .
« Nous voilà arrivés Monsieur » annonça le majordome.
De la voiture descendirent deux personnes, grandes , très belles. Un homme , une femme. Il était cependant très dur de les différencier. L'homme possédait un visage si fin et féminin qu'il était presque plus beau que sa compagne.
Ils étaient stationnés devant une grand manoir. La façade était blanche et laissait deviner un intérieur somptueux. C'était leur demeure.
Janvier 1746 .
Une femme qui pleure. Toujours cette même femme, l'homme est à ses côtés, le visage interdit. Un médecin entre dans la pièce.
« Madame, vous avez perdu votre enfant. Et vous resterez dans l'incapacité de donner la vie, je suis désolé » annonça-t-il , l'air grave.
L'homme, furieux, sortit. Une fois à l'extérieur, il cria de toutes ses forces. Des larmes de rage coulaient sur ses joues. Ils ne pourraient pas avoir d'enfants.
16 Mai 1746 .
« Chérie, regarde, je la prépare depuis 2 mois, elle est finie. » déclara l'homme, face à sa femme. Il était heureux, une lueur dans ses yeux brillait telle une étoile.
L'homme se leva, il ouvrit la porte et par cette porte entra une petite fille avec des anglaises violettes. Son visage était doux , sur sa bouche fine était étiré un sourire. La petite s'avança dans la pièce , et se posta devant la femme.
« Ma..man..Maman.. »
La mère fondit en larmes devant la petite fille. Elle remercia le ciel et son mari. Puis elle prit la petite dans ses bras .
17 Mai 1746
« Manges Pizzicato, il faut que tu manges ! » grondait la femme.
La petite a table semblait peu attentionnée par la nourriture et n'écoutait pas sa mère, laissant son assiette intacte. L'homme soupira et se retourna vers la fenêtre, pensif.
Une heure après, la femme emmena l'enfant vers la salle de bain afin de lui donner son bain. Elle se mit alors à lui retirer sa robe, rose et soignée. Une fois la robe retirée , la femme poussa un cri d'horreur. Des articulations étaient seyantes sur le corps de la petite Pizzicato. Cette dernière regarda sa mère, horrifiée et lui demanda « Maman ? Je te fais peur ? Tu ne m'aimes pas ? »
La mère couru hors de la pièce , laissant Pizzicato, seule. En bas, une dispute éclata entre les deux adultes.
Pourquoi tu ne m'as rien dit ? Es tu fou ? Créer un pantin qui pourra remplacer un enfant que l'on aurait jamais pu avoir?
Pizzicato est une petite fille normale, son corps est différent c'est tout, elle n'est pas de chair et d'os , mais elle vit . Elle ne manges peut être pas, mais elle est capable de nous aimer, elle t'aimes ! »
Oui , mais je ne peux pas aimer un pantin, elle n'est pas réelle !
C'est une petite fille, je te l'aie dit.
Tu es fou, je suis navrée.
La femme sortit du manoir. Laissant l'homme, seul. Il allait chercher Pizzicato, la pris dans ses bras.
« Même si elle refuse d'y croire, tu es une enfant, je t'aime Pizzicato, ma fille. » , il la serra contre sa poitrine.
Juin 1746.
« Monsieur, votre femme est décédé aux suites d'une maladie grave, je suis désolé. »
La porte claqua .
Que se passe-t-il Maître ? , demanda Pizzicato
Ma femme est morte , répondit l'homme d'un ton sec.
Oh .. Je vois. Elle est morte..
16 Mai 1747 .
« Pizzicato, tu as un an aujourd'hui » l'homme s'avança vers le siège orné de moulure dorés où la petites fille en anglaises parme était assise tranquillement. Cette dernière répondit d'une voix douce un petit « Oui, Maître » . Le dit Maître se retourna et fit entrer une petite fille habillée de même façon que Pizzicato et coiffée de deux couettes roses à boucles.
Voici Harmony, ta sœur. C'est ton cadeau d'anniversaire. Viens par là Harmony, n'aie pas peur.
Oui Maître , répondit la nouvelle petite.
Les deux enfants se regardèrent pendant quelques minutes avant de partir jouer dans le manoir. Le Maître se mit au piano et commença à chanter le Dies irae , le chant des morts …
Telle était la légende de cet homme. Rendu fou par le désir d'avoir un enfant. Il paraît que pour lutter contre l'âge , il se serait transformé lui même en pantin. Cependant rien n'est sûr. Les rumeurs disent également qu'il aurait vendu son âme au diable, nul ne sait la vraie explication de son immortalité. Et , de temps à autres deux petites filles sont aperçues autour du château , jouant et prenant le thé. De plus , des petites filles disparaissent quelques fois, lorsqu'elles reviennent, elles sont terrorisées, et pleines de marques bleutées.. Nul ne saura réellement ce qui se passe dans ce manoir. La seule chose que l'on sait, c'est que le diable y vit...

mardi 18 mai 2010
Kurenai & Mercredy - Portraits.
samedi 15 mai 2010
Asmodée - Le Maître .
mercredi 12 mai 2010
Inscription à :
Articles (Atom)